Identité

Prénom Nom: Shelton Douglas.

Surnom: Mad, Maddy, Mad Hatter, Mad World, Jester, Chapelier (fou), Le Clown… Chacun y va de sa touche personnelle au cirque, tout est accepté !

Alias: Joker.

Âge: il entame sa 23ème année.

Date de naissance: 25/09 (ne le sait pas, se plait donc à dire qu’il est né le premier avril).

Sexe: à définir… Généralement masculin, mais cela peut changer en raison de son pouvoir.

Nationalité: Anglaise.


Description

Physique: 1m 78 (et demi !) pour 80 kilos approximativement, musclé tout en finesse, Joker à tout pour être fier de son physique.

Ses pouvoirs ont effacé totalement toutes les malformations de son corps étant petit. Son visage pâle aux traits délicats est rehaussé d’une flamboyante tignasse rousse, retenue en arrière par une multitude de neigeuses qui fixe ses mèches de façon éclatée tout autour de sa tête. Les seules mèches y échappant sont celles de devant, plus courtes, et lui formant une mèche qu’il coiffe du coté gauche, ainsi que celles démarrant à la base de sa nuque et qu’il a laissé pousser jusqu’aux omoplates. Le Jester les sépare en cinq fines tresses sur une longueur d’environ 10 cm, puis laisse le reste lui descendre dans le dos librement. Habitué aux spectacles, il fait dans la parade, et continu à se maquiller tout les jours, de la même façon qu’au temps où il grimpait sur les planches : la blancheur de sa peau et le bleu-mauve, tirant parfois sur le gris, de ses yeux sont relevés par un épais trait d’eye liner noir, fardant sa prunelle et l’allongeant en amande. Une larme bleue est également dessiné au pinceau, partant de l’œil gauche et coulant jusqu’à sa joue.

Sept anneaux en acier, de différentes tailles chacun, ornent ses oreilles, trois à droite, quatre de l’autre coté. Il revêt toujours ses habits de scène, soit la plus part du temps une chemise à jabot de soie blanche, un pardessus gothique noir et gris à motif losanges et fermé par 3 gros boutons métalliques sur le coté. S’arrêtant à sa taille, les pans de sa chemise ouverte en bas en dépasse, retombant sur un large bermuda de toile noire, dont les coutures des cotés extérieurs sont agrémentées des mêmes carreaux clairs que son pardessus. Deux lignes de dentelles denses prennent aussi leur départ depuis le jabot, passent sous le tissus et dégringolent sans attache jusqu’à son genou, toujours du coté gauche. Des guêtres blanches et droites rattrape son pantalon à leur jointure, et englobe les mocassins en nubuck noir qu’il chausse, juste derrière leurs talonnettes. Une redingote de cuir noir doublée d’un lourd velours rouge à l’intérieur lui drape les épaules. On y retrouve des décorations identiques, blanches losangées des deux cotés, au bas du manteau, ainsi que sur le revers des manches. La touche finale est donnée par un large ruban doré qu’il prend soin de nouer au col de sa chemise dans un grand nœud. Ses autres costumes sont dans ce style pareillement, plutôt excentrique.

Il agrémente parfois le tout d'un demi masque en porcelaine blanche, lui couvrant la partie droite du visage, plus précisément le front, l'œil et la pommette, ainsi que le coté extérieur du visage, et se terminant en pointe au niveau de la mâchoire. Une étoile bleue lui encercle alors l'œil, et il est cerné de diamants noirs peints, parsemés en moitié de cercle sous l'orbite. Il est maintenu par un système de cache-œil, à l'aide d'une ficelle rouge qui se fond dans sa chevelure.

Joker a perdu son bras droit. Il utilise ses pouvoirs pour s’en recréer un totalement fonctionnel: un bras squelettique. Il influe sur ses os pour les affiner et permettre à la matière de gagner son épaule afin de la modeler. Des rumeurs disent qu’il cacherait une dague dans cet avant bras, et que la garde ne serait autre que sa propre main. Mais si par malheur il venait à perdre connaissance, son bras droit disparaitrait à nouveau.

Mentale: Ce clown est un farceur! Optimiste et enjoué, il ne perd pas facilement ni le sourire, ni courage! Toujours prêt à divertir, que ce soit par un tour de magie, de passe-passe, une démonstration de lancé de couteau ou un numéro de jonglerie équilibriste, il use de tout ses atouts pour remonter le moral des troupes. Son pouvoir lui sert aussi en représentation, et son comique n'a rien à envier aux plus grands humoristes, même si ses gags restent burlesques.

Fonceur mais réfléchie, calme et posé quand la situation le demande, le jeune homme analyse toujours toute la portée que ses actes pourraient avoir avant de se mettre en marche. Il déteste les imprévus comme les surprises, mais essaye toujours de s’adapter au mieux. Il ne s’énerve pas facilement, ou alors il a ses jours lunatiques, mais si jamais il est en colère, mieux vaut ne pas le contrarier un peu plus… Ou gare au malchanceux qui l’aurait fait.

Certains diront que Joker est non chaland, voire flemmard. Détrompez-vous, il n’en n’est rien. Il a de l’énergie à revendre lorsqu’il s’agit d’un spectacle ou de ses amis. Seulement, une utilisation trop intense de son pouvoir l’astreint au repos de force, voilà la raison de ses grasses matinées prolongées.
Notre bouffon est fier. Personne ne le sait, il le cache sous de l’autodérision ou de l’humour noir. Mais ce soupçon de vanité, ce léger orgueil, fait qu’il ne parle presque jamais de lui. Ni de la part de tristesse qu’il garde au fond de lui à cause de son passé et de ses pouvoirs. Il esquive les questions. Mais peut-être qu’un jour… ? Qui sait ?


Mutation

Description: Les alchimistes peuvent transformer le plomb en or. Joker aussi. Et pas seulement. En eau, en gaz, en terre, en fleur ou en animal même s’il le désire. Et pourquoi pas en humain ? Tant qu’il a assez de matière pour ça…

Il détient la capacité de métamorphoser n’importe quoi en tout ce qu’il désire, pour cela il suffit d’une pointe d’imagination et d’un contact, si léger soit-il. Il peut alors transformer selon son bon vouloir des humains en animaux, ou inversement, et plus encore, sans limite de temps tant qu’il garde le contrôle. Si ce clown oublie une fraction de seconde un changement qu’il a effectué, celui-ci se stoppe instantanément, sans possibilité de retour arrière, à moins d’un nouveau contact avec l’objet ou la personne. Le corps transformé reprendra ainsi sa forme d’origine en cas de négligence de sa part. Ce qui le force à constamment penser à la moindre de ses actions et réduit donc le nombre de transmutations matérielles et physiques de manière considérable. Les limites de son pouvoir se font également sentir quand il s’agit d’altérer des éléments de nature opposée, à savoir par exemple le liquide en solide, le solide en gaz, le minéral en végétal, ou encore l’un des deux en êtres vivants, animal ou humain. Il ne peut pas modifier la structure même des choses, il ne peut que la déformer partiellement. Ce qui implique de nombreuses contraintes : une pierre changée en être humain ne sera rien d’autre qu’une statue, car la roche n’est pas vivante au départ, ou à l’inverse, un humain changé en pierre n’en mourra pas et sera seulement statufié le temps que le maléfice se rompe. Il pourrait bien sur, à terme, mourir de faim, mais Joker, n’étant pas cruel, le libèrerait avant en lui redonnant son allure première.

Le dernier problème de ce pouvoir est le besoin pour l’utiliser d’un taux de concentration maximum à cause du foisonnement de détails important qu’il implique. Et de ce fait, la consommation importante d’énergie physique et mentale de son utilisateur oblige ce dernier au repos pour ne pas tourner de l’œil.

Scientifiquement parlant; il manipule l'énergie élémentaire par la pensée suite à un contact. Elle est la forme la plus dangereuse des énergies, car la plus puissante: elle est quantifiée par la « matière noire », l'unité de base de toute matière, la plus infime particule de matière possible, indivisible. L'énergie élémentaire est donc la matière à proprement parler, que ce soit un proton, un photon, un quark, ou tout autre corps.

La manipulation de l'énergie élémentaire permet le contrôle de toutes les énergies existantes, hormis gravitationnelle, magnétique, dimensionnelle et temporelle. Parmi les exemples de manipulations possibles, on citera: conversion de n'importe quel élément en autre (oxygène -> fer), déplacement de matière, destruction de tout corps... Joker s'en sert pour donner la forme qu'il désire au monde l'entourant, mais ce, en temps limité. La durée de son pouvoir varie selon son taux de concentration et le nombre de transformation qu'il a à maintenir en même temps. Selon ces critères, s'il était enfermé dans une pièce seul, sans être dérangé, il tiendrait une à cinq heures maximum, avant de se rendre complètement malade et tomber d'épuisement. A contrario, dans le feu de l’action, ses pouvoirs pourraient ne tenir que quelques secondes. Il faudra alors retoucher l’objet à transformer, ou bien la personne, à noter que le contact avec la peau nue de cette dernière n’est pas obligatoirement requis, un vêtement frôlant la peau de quelqu’un suffit, et qu’il n’est pas non plus nécessaire de garder ce lien pour la métamorphose, elle s’effectuera d’elle-même en moins d’une minute. Il persiste cependant des contraintes comme celles évoquées précédemment au niveau de la nature des éléments.

Âge de la première manifestation: 12 ans, et l’utilise quotidiennement depuis.


Historique
Histoire:

… The Queen of Hearts …

Un jour gris, froid et pluvieux d’automne. Tout commença sur un air lancinant d’accordéon, quand un jeune couple entra dans le vieux cirque se trouvant à la sortie de la ville. La femme avait dans ses bras un ballotin de chiffons. L’homme, un chapeau melon enfoncé sur le crâne, avançait d’un pas déterminé en la bousculant un peu, vers la tente principale. Il répétait sans cesse qu’il fallait se dépêcher. Ils entrèrent sous le chapiteau, où les clowns tristes rabâchaient inlassablement les mêmes numéros vus et revus, et demandèrent à parler au responsable. La directrice arriva bien vite et les fit passer dans son bureau après quelques explications. Dix minutes plus tard, ils ressortaient du cirque, main dans la main. Le paquet en moins. De l’argent en plus.


Le bruit se répandit en ville qu’il y avait une nouvelle attraction au cirque. On s’y précipita en masse pour voir une cage, près de celle des fauves. Un lion ? Non. Un tigre ? Non plus. Une nouvelle espèce exotique ? On peut appeler ça comme ça… Un bébé. Cabossé, moche, déformé. Mais un bébé humain. Gardé sous clef entre des barres de fer, et pleurant devant toute une foule venue observer cette « chose incongrue ». Il inspirait la frayeur et la curiosité. Tout Londres accouru pour le voir, et le cirque, grâce à lui, pu régler ses dettes et se remettre à flot. Il venait même des gens des provinces avoisinantes au nouveau « Monster Circus ». Mrs. Sullivan était on ne peut plus ravie de sa fameuse acquisition. Le bébé grandit. Les difformités aussi. Pendant six longues années.

« Et si on lui jetait du pop corn ? Des pierres ? Sale monstre… »

… All on a hot summer’s day …

Le cirque dû plier bagages et devint nomade. Le corps grandissant de l’enfant commençait à changer. Les malformations s’estompaient. La gérante en était folle de rage. Son gagne pain s’envolait. Sa 12ème année marqua l’éradication de la dernière protubérance. Il était même assez mignon à voir maintenant. Et la réputation du cirque en pâtit.


Le jeune garçon passa alors par tous les stands artistiques possibles: lancé de couteau où il excella, clowneries où il subit les railleries de ses camarades, le jonglage, l’équilibrisme, le domptage de fauves. Mais ce n’était jamais assez. Plus, plus, plus. Ce n’étaient pas des petits numéros qui allaient sauver le chapiteau. Il en fallait plus. Ou bien se débarrasser de lui. C’était toujours une bouche en moins à nourrir. Alors il fut forcé de marcher sur la corde raide. L’équilibre n’était pas son point fort, ses jambes frêles tremblaient facilement. On le fit monter tout en haut des piliers porteurs de la toile. Autant commencer fort tout de suite, n’est ce pas ?

« C’est facile, ne regarde juste pas en bas ! Concentre-toi pour arriver sur l’autre rive. »

Le petit apprit vite à ses dépends que cela était plus aisé à dire qu’à faire. On lui mit une barre entre les mains, et on le poussa pour qu’il avance. Tous les acteurs étaient réunis en bas pour considérer son exploit, quelqu’un remarquerait-il qu’il n’y avait pas de filet ? Un pas en avant. Fixant la corde et respirant profondément, il posa un pied tremblant dessus. L’acier tremblait entre ses doigts, le silence s’était imposé dans la salle de façon écrasante. Ça tenait… elle tanguait légèrement, mais il fallait juste se concentrer… Peut-être allait-il… En fait, non.

Le deuxième marqua sa chute. A peine avait-il levé le genou que le fil avait cédé sous son poids. Le voilà qui tombait de plusieurs mètres. Les poids lui échappèrent, il avait peur. En voyant le sol se rapprocher, il ferma les yeux le plus fort possible. Une clameur apeurée montait désormais de l’attroupement, cependant personne ne bougea. Il ne s’en rendit pas compte, le vent lui sifflant aux oreilles le rendait sourd. Inconsciemment, il porta les bras en avant pour se protéger. La chute paraissait interminable. Il eu l’impression de tomber pendant une éternité. Quoique…


Sûr de lui, un sourire aux lèvres, il étendit à nouveau les bras. Après tout, la mort avait-elle un goût plus âcre que la bouillie qu’on lui servait matin et soir ? L’enfant se prit à songer qu’il était un oiseau, pendant que la barre de métal qu’il tenait fébrilement encore quelques instants auparavant s’écrasait au sol. Plusieurs secondes passèrent, la foule reteint son souffle, attendant une fin qui ne vint pas.

Il était sauf. Toujours en l’air. Par quel miracle ? Deux ailes lui étaient poussées. Comme ça, d’un coup d’un seul, à la place de ses bras se trouvaient à présent de grandes plumes blanches et brillantes. Elles avaient ralentit son « vol » et permit de mettre pied à terre sans encombre. Tous l’observaient avec incrédulité. Lui-même ne comprenait pas très bien ce qui lui arrivait, mais en était plutôt content. C’est le cri de la mère Sullivan qui rompit le silence, une lueur vive dans les yeux et des idées pleins la tête.

« On t’a trouvé une utilité, finalement. »

Ce jour à marquer d’une pierre blanche vit naître le début du numéro transformiste du Monster. Il eu peine au début à se débarrasser de ses ailes, et à prendre d’autre formes. C’était chaotique, fatiguant, et peu réussi. Mais il persista, c’est tout ce qu’il avait à faire pour rester au cirque. Sinon, le jeune pourrait dire au revoir à son foyer. La directrice, une femme intransigeante, ne le garderai pas pour rien. Alors il se dépassa, fatiguant vite dans la durée. Tout les jours, à s’entrainer sans relâche, à comprendre comment faire, ne se maîtrisant pas. Cela lui prit plusieurs mois. Quand il se senti prêt, il approchait des treize ans. Et entreprit un spectacle solo, qu’il présenta à Mrs. Sullivan. Brillant. Tout simplement brillant. Son don était fascinant. Le garçonnet fit sensation auprès de ses équipiers et obtient rapidement une place dans la troupe principale. Ce nouvel Atout fut rapidement (et enfin) baptisé: Joker.

… The Knave of Hearts …

Les numéros s’enchaînèrent, les représentations passèrent, devenant toujours de plus en plus complexes et élaborées, les saisons filaient. Le Clown testait chaque jour de nouvelle chose, sans cesse, pour gouter à toute la liberté que lui offrait son pouvoir. C’en était grisant, mais il veillait à ne pas franchir de limites. Tout ça avait aussi quelque chose d’effrayant, quelque part.

Les années passèrent, Joker grandissait, entouré d’amis et d’une vraie famille maintenant, le cirque était en tournée dans toute l’Angleterre, ils faisaient salle comble à coup sur. Et la fête battait son plein. Onze longues années… Jusqu’à L’incident…


Regrettable erreur… Un simple manque de temps, une transformation ratée, fatale, qui couta la vie à la dresseuse de bêtes, dévorée par ceux qu’elle domptait, alors qu’il l’avait changé en biche…



Le public fuit, la panique s’installe, on cherche un responsable, quelqu’un sur qui rejeter la faute. Tous les yeux se posent sur l’ex-monstre. Il était terrorisé à l’idée d’avoir causer la mort de son amie. Statufié. Mais est ce vraiment sa faute si les gonds des cages, rouillés, ont cédé ? Non, bien sur que non. Mais qui le croirai ? Certainement pas la vieille Sullivan…



On l’attrapa, et ce Chapelier eu beau se débattre, contre les culturistes, il ne put rien. Les fauves s’échappèrent, les remplaçants coururent pour les rattraper. Il fut maintenu à genoux, les bras dans le dos. La petite sœur de Beast, Doll, se tenait devant lui, un torrent de larmes sur les joues. Elles n’étaient pas unies par le sang, mais c’était tout comme. Enfin, qui lui demanderait, dorénavant? La tête lui tournait, il ne comprenait plus ce qui se passait autour de lui, tout se mélangeait, les bruits, les cris, les éclats lumineux accrochant son regard. Celui du tranchant d’une hache, par exemple.


Qui tenait l’arme, il ne s’en rappelait plus. Ou peut-être bien qu’il préférait l’oublier. Mais la douleur qu’il senti lorsqu’elle s’abattit sur lui, celle là, il ne l’oublia pas. La lame était froide au contact de sa chair, mordante. Et terriblement douloureuse.

… Off with his head !!

Un coup n’avait visiblement pas suffit à l’achever, car même dans son état, il put voir la hache s’élever à nouveau. Il n’en croyait pas ses yeux. Le coté droit de son corps le torturait, des nausées l’assaillaient. Elle allait de nouveau s’abattre.

Et il vit l’objet s’envoler des mains de son propriétaire, avant d’aller se ficher dans le poteau de bois juste derrière, avec un son mat. Pourquoi, comment, là n’était pas la question. Joker n’eut pas le temps d’y réfléchir. Il perdit trop rapidement connaissance pour y penser. Face contre terre, sa dernière vision fut celle de deux hommes se rapprochant de la petite troupe. Elle était trouble, certes, mais parfaitement imprimée dans sa mémoire.

Il se réveilla deux jours plus tard avec l’impression d’avoir rêvé. Mais se rendit vite compte aux murs blancs bordés de vert qui l’entouraient qu’il n’était pas dans sa caravane. Il se sentait gourd, ankylosé. En baissant les yeux, le constat se fit de lui-même: Un lit d’hôpital, des perfusions lui lacérant le bras gauche, son droit manquant à l’appel. Disparu, envolé. La hache ne lui avait pas épargné.


Pensa-t-il au vu des derniers événements. Il ferma les yeux, perdu dans ses souvenirs, mais fut contraint de les rouvrir en entendant la porte de sa chambre s’ouvrir. S’en suivit un défilé de visites; médecins, infirmières, aides-soignants… Mais pas un seul visage connu parmi tous ceux là. On lui apprit que le cirque en ville était repartit. Joker se sentit sombrer lentement, ne sachant pas comment réagir à cette nouvelle. Lorsqu’une dernière personne entra dans la pièce.

Un homme chauve, et étrangement calme, se présenta à lui comme le professeur Charles Xavier. Il était accompagné d’une seconde personne, un certain Erik Lehnsherr, un ami à lui. Joker était mal à l’aise de n’avoir aucun nom à donner. Il réfléchit un instant, puis, en essayant d’avoir l’air naturel, leur répondit aimablement:

_ Shelton. Shelton Douglas, enchanté.

Ils lui expliquèrent toutes sortes de choses que le jeune homme, dans son état, n’était pas très sûr de comprendre. Mais il reteint deux choses: Ils lui proposaient de les suivre, et ce, pour l’emmener dans un institut pour « surdoués ».

_ Alors, Shelton, acceptes-tu notre proposition?, dit Charles, en lui tendant la main.

Il hésitait. Il aurait voulu retrouver ses amis – ce qu’il en restait – au cirque. Mais le cirque n’était plus là. Dieu seul savait où les mènerait leur prochain spectacle. Au final, il n’avait plus nulle part où aller.
Inspirant profondément, il regarda cette main tendue qui s’offrait à lui. Droitier, il eu comme réflexe de s’avancer, mais n’avait plus aucun membre à cet endroit. Il sourit de façon affligeante de sa propre stupidité, avant de donner sa main gauche en guise de réponse positive au professeur.



IRL

Double compte: Non.

Expérience RP: Mine de rien… ça fait 8 ans déjà que je pratique le RP. Et mes posts sont généralement d’une bonne trentaine de lignes (quand ça va moyennement bien) à beaucoup plus si l’inspiration me prend ! Ou bien moins si… Zéro pointé…

Date de naissance: un certain 69… Comprendre qui pourra! xD

Citation :

Vert : 10/10
Orange : Précisions nécessaires.
Rouge : A revoir.

Spoiler:

Alors, point par point:

Spoiler:

Voilà voilà, merci ^^.

Et bien me revoilà, et j'ai rajouté tout ce qu'il fallait dans la fiche, c'est bon ^^

Désolée, je n'avais pas compris qu'il fallait une explication scientifique ^^" (vu l'heure, mon cerveau devait déjà être éteint...). Est ce assez clair maintenant?

Et oui, je confirme le fait d'être élève, encore désolée, un oubli de ma part dans le post précédent!

Ps: j'ai rajouté l'élément sur la dispartion des malformations au début de la description physique puisque j'y décrivais également le bras.

Et bien pas grand chose à revoir il me semble.

Merci, fautes corrigées! ^^

Parfait ^^ je déplace dans les fiches validées.