Identité

Prénom + Nom : Walter Joseph Kovacs
Surnom* :
Alias* : Rorschach

Âge : 33 ans
Date de naissance : 15 aout.

Sexe : Masculin
Nationalité : Américaine

Description

Physique : Apparence, nom féminin. Aspect d’une chose, ce que l’on voit. Aussi, si l’on veut parler de l’apparence physique de Walter Kovacs, que doit-on décrire ? Un homme de petite taille, trapu, l’air hargneux, roux et le visage couvert de balafres ? Pourtant, cet homme là, bien peu ont l’occasion de l’apercevoir. Alors qui ? Quoi ? Un long manteau de vieux cuir marron, usé et sale. Une ombre pressée rasant les murs de la ville à la tombée de la nuit. Un chapeau de feutrine marron qui, a bien y regarder, semble taché de sang ici et là. Un visage blanc sans yeux ni bouche, couvert de taches noires et mouvantes. Son visage. Le vrai. Après tout, même le plus pur des êtres ne pourra jamais prétendre être totalement lui-même en présence des autres. Nous nous cachons tous derrière un masque. Walter Kovacs, lui, a au moins le mérite de l’assumer totalement, et de le revendiquer si besoin. Il a aussi la faculté inhabituelle de pouvoir multiplier ses cellules et les modifier à sa guise, ce qui lui permet de conférer à son visage cet aspect que les biens pensants jugeront effrayant. Pourtant, bien plus que n’importe quel visage, il est le reflet de son âme. Un test de Rorschach sur mesure, les tâches s’adaptant à la moindre de ses émotions. Les rares personnes qui ont la chance de le connaitre ne tenteront même pas de lui demander de montrer son visage. Celui qu’il s’est créé est le seul qui soit vrai. Mais vous, vous qui n’êtes que des êtres de passage dans sa vie, si vous vouliez connaitre le masque qui se cache derrière son visage, vous ne verriez qu’un garçon banal. Après tout, le propre d’un masque n’est-il pas de permettre à son propriétaire de passer inaperçu ?
Du haut de son mètre 67, Walter Kovacs se ballade dans les rues de la ville la journée caché derrière des cheveux coupés courts et des vêtements souvent trop longs ou larges. Son visage creux et ses cicatrices sont les marques de son passé torturé. Ses yeux cernés, eux, sont les témoins de la déchéance des hommes. Il n’est pas propre sur lui. Il est même un peu repoussant. Souvent, on lui reproche sa mauvaise odeur, on le rejette tel le pariât pour lequel il veut volontairement passer. Qui se soucierait d’un clochard ? Qui le jugerait dangereux alors qu’il n’a même plus assez de dignité pour demander des vêtements propres ?
Mais à la nuit tombée, il quitte le masque de Walter Kovacs et retrouve son vrai visage, celui de Rorschach.

Mentale : « Il est taré… » C’est ce que les gens disent. Mais les gens parlent beaucoup. Trop sans doute. En réalité, prétexter la folie, ce serait accorder à Rorschach le fait qu’il n’est pas pleinement responsable de ses actes, ce qui est on ne peut plus faux. S’il y a une chose qu’il sait, une chose dont il a parfaitement conscience, ce sont bien ses actes. Pourtant, les gens ne parlent pas complètement sans raison.
D’une violence extrême, les évènements ont aussi conduit Rorschach à développer une paranoïa aigüe. Doté d’un sens particulièrement poussé de la notion de bien et de mal, il se considère lui-même comme un justicier et n’hésitera pas à punir ceux qu’il juge inaptes à servir le bien. Ses peines varient en fonction de ce qu’il reproche à celui qu’il juge, pouvant aller de la torture physique, à la mort pure et simple. Ce qu'il préfère, c'est casser un par un les doigts de ses victimes et les entendre le suplier d'arrêter.
Psychorigide, il est inutile ne serait-ce que de songer à négocier avec lui, même si sa vie en dépend. En effet il préférerait mourir plutôt que de manquer à l’un de ses principes fondamentaux.
Particulièrement malin et débrouillard, entre ses mains, n’importe quel objet peut devenir une arme. Il est également particulièrement doué pour s’évader ou, au contraire, pour s’infiltrer dans des endroits où il n’a rien à faire.
Alors, peut-être que Rorschach a, aux yeux du monde, tout d’un fou, et pourtant il est on ne peut plus lucide.
Fin manipulateur, il parviendra sans mal à déjouer les tests des psychologues et autres psychiatres.
S’il peut paraitre froid et dénué de sentiments auprès de ceux qui ne le connaissent pas, les autres sauront percevoir lorsque quelque chose le vexe.
S’il voue une haine quasiment sans limite à la plupart des êtres humains, les autres, ceux qu’il juge dignes d’intérêt, auront d’autant plus de place dans son estime. De ce fait il est un coéquipier fidèle et n’abandonnera jamais ceux à qui il a promis son aide. Par contre, il n’abandonne jamais non plus ses ennemis et les traquera où qu’ils aillent jusqu’à pouvoir les tuer de ses propres mains.
Enfin, Walter Kovacs est bien loin de n’être qu’une brute capable de tuer de sang-froid. Il apprécie aussi qu’on lui montre de la reconnaissance ou qu’on tente de prendre soin de lui. Il aime manger des haricots directement dans la boite de conserve et parler de bons souvenirs avec des personnes intéressantes. Il ne dira jamais non à un morceau de sucre sauf s’il vous soupçonne de l’avoir empoissonné auparavant.
Peu loquace, il a prit l’habitude de retranscrire ce qu’il juge important dans un journal qu’il a continuellement avec lui. Il a une manière de s’exprimer assez inhabituelle : souhaitant aller à l’essentiel il enlève tous les mots superflus, comme par exemple les pronoms sujets.

Mutation

Description : Les cellules de Rorschach se multiplient. Comme un cancer. A la différence près qu’il peut maitriser ces multiplications et s’en servir afin d’assouvir ses désirs de justice. En multipliant ses cellules, il peut également les modifier, créant ainsi d'autres tissus, par exemple cutanés.
Il multiplie par exemple les cellules de son visage afin de lui donner une autre apparence permettant de cacher sa véritable identité ou encore les cellules de ses mains de sorte que ses empreintes digitales disparaissent. Toutefois sa mutation ne s'apparente pas à celle des métamorphes. Il serait par exemple incapable de reproduire à l'identique le visage de quelqu'un afin de se faire passer pour lui.
Cela lui permet aussi de décupler ses forces et sa vitesse de réaction, faisant de lui un combattant redoutable.
Cependant cette mutation est très contraignante et lui demande beaucoup d’énergie. Il ne pourrait pas transformer son corps en permanence comme les métamorphes par exemple. Aussi il a prit l’habitude de ne l’utiliser que la nuit.
De même s’il ne supprimait pas les cellules qu’il crée elles pourraient nuire à sa propre survie, étouffant ses « vraies » cellules. Il est donc obligé de s’en débarrasser assez régulièrement.
Le fait de détruire les cellules qu’il a créé pour accroitre ses capacités dégage une odeur nauséabonde qui contribue à le rendre repoussant aux yeux des autres.
Rorschach utilise exclusivement son pouvoir pour assouvir son désir de justice. Il n'a pour l'instant pas conscience de la plupart des choses qu'il pourrait faire grâce à lui (par exemple sa principale utilisation du pouvoir est de transformer le visage de Walter Kovacs en celui de Rorschach, il n'a jamais essayé de lui conférer une autre apparence).


Âge de la première manifestation : La mutation a toujours été présente dans le corps de Rorschach, comme un cancer qu’on aurait dès la naissance, héritage génétique. Cependant la première manifestation a eu lieu alors qu’il avait 14 ans et qu’il voulait s’attaquer à des garçons plus grands et plus âgés que lui qui l’insultaient. La colère l’a poussé à agir sans réfléchir et la mutation a naturellement décuplé ses forces.
Longtemps, il a ignoré comment il avait pu faire cela. Mais il a petit à petit appris à comprendre ce don.
Lorsqu’il a modifié son visage pour la première fois, suite à sa découverte du test de Rorschach, il était déjà âgé de 19 ans.


Historique

Histoire : Walter Kovacs fait partie de ces enfants dont on aurait préféré qu’ils ne viennent jamais au monde, pour eux comme pour nous. Fils non désiré d’une prostituée du nom de Sylvia Kovacs et d’un homme appelé « Charlie », ses premiers souvenirs de cette planète et du peuple qui l’habite sont noirs, crasseux et effrayants. Des hommes grossiers aux femmes vulgaires, de la fumée des cigarettes aux vapeurs de l’alcool, ses premiers pas dans notre monde auraient donné à n’importe quel autre personne le désir immédiat de la quitter. Pas au jeune Walter.
Il apprit à se construire une carapace lui permettant de résister à la solitude et à l’univers malsain dans lequel il grandit. Le manque d’amour de sa mère le blesse, mais il utilise cette faiblesse pour devenir plus fort, Walter Kovacs s’en fait la promesse : jamais il ne laissera les bas-fonds de la ville avoir raison de lui. Lui, il est la pureté dans un monde de crasse. L’enfant échoué au milieu d’un monde d’adulte. Fort de cette promesse, il ne bronche pas lorsque sa mère le bat, il ne répond pas lorsqu’elle l’insulte. Elle n’est que la victime de la laideur de ce monde. Victime de la prostitution. Victime de ces hommes qui ne veulent que son corps. Agressif, il lui arrive de s’en prendre aux clients de sa mère sans crier gare, souhaitant soudainement leur mort à tous. Dans ce genre de crise, mué par la colère, il mord, griffe et tape aussi fort que sa petite taille le lui permet.
Il est encore un jeune enfant lorsque Sylvia l’envoie en internat dans une école spéciale, le Foyer Lillian Charlton. Là-bas, il sera un élève particulièrement intelligent, cumulant les bons résultats mais ses professeurs le décriront comme perturbé. C’est dans cette école qu’il prendra conscience des pouvoirs liés à sa mutation. En effet, Walter n’a pour ainsi dire aucun ami. Ses camardes le voient comme le fils de la prostituée ou comme un taré assez petit pour être inoffensif et qu’on puisse facilement s’en prendre à lui. Un jour qu’il subissait les brimades de ses camarades Walter décida qu’il était temps de leur montrer qu’on ne lui parlait pas sur ce ton.
Comme du temps où il vivait avec sa mère et où il attaquait ses clients, Walter se jeta sur ses camarades. Mais cette fois-ci fut différente des précédentes. Il sentit nettement sa force physique se décupler sous l’effet de la colère. Malgré sa petite taille, il n'eut aucun mal à terrasser ses adversaires pourtant visiblement plus forts que lui et plus nombreux. Il prit un malin plaisir à les faire souffrir au maximum, prenant bien garde à ce qu’ils aient des cicatrices pour le restant de leurs jours.
Il fut sévèrement puni, mais cela ne l’atteint pas. Il savait qu’il était différent. Il l’avait senti. Il en était sûr. Quelque chose en lui avait changé au moment où il s’était mis en colère.
Dès lors, Walter se renferma d’autant plus sur lui-même, se concentrant exclusivement sur ce qu’il découvrirait plus tard comme étant une mutation génétique. Il passait de nombreuses heures à se concentrer jusqu’à sentir ce fourmillement familier à la surface de sa peau. Il remarqua qu’il pouvait, lorsqu’il était dans cet état, être beaucoup plus rapide de même qu’il était beaucoup plus fort. Il remarqua aussi l’odeur particulière, presque une odeur de mort, qui se dégageait lorsqu’il faisait cesser son « pouvoir ».
A 18 ans il quitta l’école et apprit le meurtre de sa mère auquel il se contenta de répondre « bien ».
Il travailla dans une usine de couture gagnant un salaire minable lui permettant de s’acheter à manger. Là-bas, son supérieur le jugeant instable psychologiquement il le fit examiner par un médecin du travail, lequel fit appel à un psychiatre. Walter Kovacs se trouva pour la première fois devant le test de Rorschach. Il avait 19 ans. Le psychiatre lui confia que sa vision de ces taches significatives leur en apprendrait bien plus sur lui et ce qui était enfouis au fond de son cerveau, que n’importe quelle confidence. Lorsqu’il rentra chez lui ce soir là, il tenta une nouvelle expérience. Il concentra son pouvoir sur son visage. Il sentit les fourmillements habituels. Walter Kovacs était devenu Rorschach.
Il venait de multiplier considérablement les cellules de son visage, créant ainsi un nouveau tissu cutané. Sa nouvelle peau recouvrait complètement la première masquant ses yeux et sa bouche sans toutefois en altérer l’usage. S’inspirant du fameux test, il régla le taux de mélanine de ses cellules afin qu’elles produisent les dessins des tâches, mouvantes et effrayantes.
Il se rendit vite compte qu’il ne pouvait pas garder ce visage très longtemps et qu’il était obligé de redevenir Walter Kovacs de temps en temps. Mais sous l’identité de Rorschach, il se sentait capable de tout, même de débarrasser les bas-fonds de la ville des détritus qui la peuplent.
Il n’eut jamais l’impression d’être anormal. Au contraire, ce pouvoir renforça son impression qu’il n’était pas venu au monde par hasard, qu’il valait mieux que les autres.
Il mena une existence de « héros masqué » pendant quelques années, volant quand il avait besoin de manger, vivant où il le pouvait.
La symbolique de son visage est claire : ses victimes y voient, tout comme dans le fameux test leurs propres démons, la noirceur enfouie au fond de leurs âmes.
Il bascule dans une sorte de folie paranoïaque lors d’une enquête sur le meurtre d’une fillette dont il découvrira qu’elle a été donnée à manger aux chiens du ravisseur. Il décide alors de tuer ce dernier en l’attachant dans sa maison à laquelle il met le feu. Dès lors il mènera une politique d’extermination du mal très violente, n’hésitant pas à torturer ses victimes de la pire des façons. Pour lui la ville est beaucoup trop corrompue.
Il considère son « masque » de Rorschach comme son véritable visage.
Ses actions furent bientôt repérées par la police qui ne parvient cependant jamais à l’attraper, faute de traces ou de preuves contre lui.
Cependant la police ne fut pas la seule à prendre conscience de ses agissements, et d’autres parvinrent à le trouver, eux.
Une nuit, alors qu’il était sur les traces d’un malfrat de la pègre locale, il entendit distinctement quelqu’un dire dans sa tête « pas par là, il semblerait qu’il ne soit pas venu seul et que ses amis soient légèrement armés ».
Rorschach stoppa net sa course, cherchant d’où venait cette étrange voix.
« Derrière vous. »
Il se retourna brusquement et distingua dans l’obscurité deux êtres. Ceux-ci se présentèrent comme étant Charles Xavier et Eric Lehnsherr. Ils déclarèrent être des mutants à la recherche des leurs. Rorschach ne broncha pas, relativement méfiant. Occupé qu’il était à analyser les nouvelles informations qu’il avait reçu, il ne s’aperçu pas que quelqu’un s’approchait dans l’ombre. Lorsque la détonation retentit il se retourna pour se trouver nez à nez avec une balle qui aurait dû lui perforer le crâne mais qui lévitait à quelques centimètres de lui. L’homme qui avait tiré se retrouva en quelques secondes maitrisé, enserré dans un barreau de métal arraché d’une fenêtre. Rorschach n’avait jamais vu ça. Il n’était donc pas le seul à être supérieur. D’autres êtres avaient ce genre de pouvoirs. Des pouvoirs bien plus grands que les siens semblerait-il.
Lorsque les deux hommes lui proposèrent de venir avec eux, Rorschach déclina l’invitation. Il était un solitaire. Un justicier masqué. Il ne pouvait très certainement pas vivre à cet endroit qu’ils appelaient l’institut.
Cependant Charles lui promit que s’il revenait sur sa décision dans le futur, une place lui serait toujours réservée là-bas. Walter l’en remercia et disparu dans la nuit.
Aujourd’hui il est toujours Rorschach le justicier solitaire. Cependant il lui arrive régulièrement de se rendre, la nuit, à cet endroit où on lui a promis l’hospitalité. Là-bas, il se contente de voler de quoi manger et de repartir.
Et, même si ses actions ne le montrent pas, il est une chose que Rorschach n’oubliera jamais de cette nuit là. En effet, désormais, il a une dette de vie. Et Rorschach est aussi loyal envers ceux qu’il souhaite voir mourir qu’envers ceux qui lui ont rendu service.

Liens du personnage avec d'autres (uniquement si Marvel) : /

IRL

Double compte : oui - non
Si oui, qui ? :
Expérience Rp : Quleques années. J'essaie de m'adapter à mes partenaires RP et de répondre à peu près le même nombre de mots qu'eux.
Date de naissance* :

Citation :

Code couleur :
Vert : Ok rien à signaler
Orange : Simple remarque, pourrait être amélioré
Rouge : Alors là ça ne va pas, il faut revoir tout ça. C'est la couleur à laquelle il faut le plus prêter attention, une fiche avec du rouge ne pourra pas être validée.

Prénom + Nom : Ok
Surnom* : Ok
Alias* : Ok

Âge : Ok
Date de naissance : Ok

Sexe : Ok
Nationalité : Ok

Description

Physique : Ok Mais tu pourrais rajouter quelques détails sur sa corpulence, est-il musclé, faiblard, gros, maigre, élancé, trapu ? Quel poids environ ?

Mentale : Ok, rien a dire.

Mutation

Description : Il multiplie par exemple les cellules de son visage afin de lui donner une autre apparence permettant de cacher sa véritable identité du coup il peut également changer la couleur des cellules en question ? Un peu comme un métamorphe ?
Ok pour le reste.


Âge de la première manifestation : Ok
Lorsqu’il a modifié son visage pour la première fois il était déjà âgé de 19 ans. Dans quel contexte ? On le connait dans l'histoire, mais si c'était possible de le décrire brièvement ici ce serait cool.


Historique

Histoire :
Agressif, il lui arrive de s’en prendre aux clients de sa mère sans crier gare, souhaitant soudainement leur mort à tous. Pour quelle raison ? Parce qu'il les trouve violents avec elle ou totalement autre chose ?

Comme du temps où il vivait avec sa mère Il est interne dans l'école donc ?

Malgré sa petite taille, il nu Are U Maaad ? Il n'eut plutôt non ? ;D

Il avait 19 ans. Le psychiatre lui confia que sa vision de ces taches significatives leur en apprendrait bien plus sur lui et ce qui était enfouis au fond de son cerveau, que n’importe quelle confidence. Lorsqu’il rentra chez lui ce soir là, il tenta une nouvelle expérience. Il concentra son pouvoir sur son visage. Il sentit les fourmillements habituels. Walter Kovacs était devenu Rorschach. Il faut preciser qu'il fait apparaitre les taches sur son visage et disparaitre ses traits. Même si on le devine en connaissant le personnage, il vaut mieux le décrire. De même rajouter sa réaction en voyant son visage se transformer ?

Pour lui la ville est beaucoup trop pleine de corruption. Mal dit. Beaucoup trop corrompue, ou pleine de corruption, mais le mélange des deux ne fait pas très élégant.
Ok pour le reste

Liens du personnage avec d'autres (uniquement si Marvel) : /
Voila pour le premier Round, c'est une très belle fiche, et en plus j'ai la classe dans l'histoire. J'ai relevé quelques fautes d’inattention ou de frappe, particulièrement dans l'histoire, mais rien de très grave. Je pense que ce sera bon pour moi une fois que tu auras modifié les petits points que j'ai signalé, et puis la phrase en rouge c'est juste pour faire genre hein, je suis méchant.

Je suppose que, selon ton histoire, tu voudras faire partie du groupe des "Hors institut" une fois que tu seras validé.

Bon, Charles étant un *bip* je me charge de toi. Le code couleur est le même que celui de Magnum, parce qu'aux amandes c'est meilleur.

Spoiler:

En fait j'ai servi à rien à part pour faire des commentaires idiots. Favoritisme ? Moi ? Noooon, pas du tout. Vous vous méprenez (et son message subliminal n'a pas du tout, mais alors du tout contribué).

Sinon, confirme tu vouloir faire partie du groupe des hors-instituts, c'est-à-dire mon domaine, mon ami ?